[...] Le vieux aperçut deux ...

[...] Le vieux aperçut deux ailerons bruns qui fendaient l'eau derrière ce qui devait être la trace du poisson dans la mer. Les requins ne s'étaient même pas partagé la recherche du cadavre. Nageant côte à côte, ils fonçaient droit sur la barque [...]
 Ernest Hemingway

Citations liés

Partager ce que nous avons avec les autres, c’est ouvrir notre coeur à la bonté et au bonheur.
C'est un bijou de famille... un souvenir de mes grands-parents et de mes parents... cette montre qui a partagé leur vie est la preuve que deux générations de ma famille ont connu le véritable amour.
 Tsukasa Hojo
Mon père m'avait prévenu : la tristesse se cramponne à la tristesse et les dépressifs se promènent en bande avec un air de chien battu. Il n' y a pas pire raison pour se lier d'amitié qu'un désastre partagé.
 Chris Adrian
Malheur à l'homme qui oubliant son devoir de merveilles, a, par vœu de puissance ou par avidité, trahi la main tendue et le rite de partage. Mais honneur à ceux qui vont et viennent et partagent avec l'autre la douceur de la halte.
 Lyonel Trouillot

Citations du même auteur

Le chat est d'une honnêteté absolue : les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre, leurs sentiments. Les chats non.
 Ernest Hemingway
Découvrir tout ce monde nouveau d'écrivains, et avoir du temps pour lire, dans une ville comme Paris où l'on pouvait bien vivre et bien travailler, même si l'on était pauvre, c'était comme si l'on vous avait fait don d'un trésor.
 Ernest Hemingway
La première panacée pour une nation mal dirigée est l'inflation monétaire, la seconde est la guerre. Les deux apportent prospérité temporaire et destruction indélébile. Les deux sont le refuge des opportunistes économiques et politiques.
 Ernest Hemingway
Je combats depuis un an, maintenant, pour ce que je crois. Si nous sommes vainqueur ici, nous serons vainqueurs partout.
 Ernest Hemingway
La révolution n'est pas un opium. La révolution est une purge ; une extase que seule prolonge la tyrannie. Les opiums sont pour avant ou après.
 Ernest Hemingway